vendredi 29 mars 2013

les travaux à la maîtrise

... Un cercle interminable, c'est du sans fin, j'ai vraiment hâte que la saison finisse...
Mon cours de recherche et transfert de connaissances, par exemple : la prof nous donne quatre affirmations à debattre. Ok, c'est cohérent. Mais elle demande de les mettre dans UNE page!

Une page ? Est-tu sérieuse?


Alors, j'avais trois textes à lire concernant les études non expérimentales. Un article de recherche du type descriptive quantitative, l'autre descriptive corrélationnel et le dernier, corrélationnel prédictive (Eh, est-ce que j'apprends le grec, là ?Nop, ce sont bel et bien des devis de recherche ...)

4 questions x 1 page ...

la question 1 *Les résultats de l'un, l'autre ou des trois articles proposées feront avancer la science infirmière ou développer le savoir disciplinaire *
je pourrais écrire et écrire et écrire ...

il faut synthétiser!! j'exercite ma capacité de résumer et j'arrive à 13 lignes, ouff!
je ne sais pas si c'est claire, mais je trouve que ma réponse est minimalement logique ....


Question 1) L’article de Lacombe et Pelletier (2007) permet d’approfondir les connaissances en soins infirmiers, il stimule l’infirmière à se remettre en question et à développer de nouvelles informations nécessaires à la remise à jour de ses savoirs. La pratique infirmière doit prendre racine dans un système de valeurs humanistes solide, comme proposée par la théorie du caring de Watson (Pépin, Kérouac et Ducharme, 2010). Selon Watson, le caring peut être démontré et pratiqué de façon efficace uniquement au travers de relations interpersonnelles impliquant une présence authentique, consciente et ouverte. Le modèle décrit une approche humaniste élargie tenant compte de l'aspect spirituel de l'être humain, mais les émotions sont souvent un aspect négligé dans l’organisation des soins. Identifier la perception des infirmières par rapport aux soins émotionnels est une étape importante au développement du savoir disciplinaire, les soins infirmiers devraient mieux intégrer les émotions des patients au quotidien.



Est-ce qu'elles théorisent, les infirmières? Cibole que oui ... d’une manière générale, les infirmières ont commencé à théoriser leurs pratiques dans les années 50. Toutes les théories des soins infirmiers reposent sur la relation entre l’infirmière et la personne soignée et la théorie de Watson me plaît beaucoup, elle identifie l'être humain unique à partir d'un discours de science et art combinant scientiticité et humanisme dans une profession clinico-académique.
Selon Watson, les actions infirmières sont guidées par un système de valeur humanitaire combiné à une connaissance scientifique et les facteurs caratifs sont utilisés pour délivrer les soins au patient/client.
Si les facteurs curatifs visent à traiter la maladie des patients, les facteurs caratifs déterminent un processus d’aide pour le retour en santé ou le maintien en santé. (ok, là je suis allée un peu trop loin, c'est vraiment de la théorie nursing!)



Un peu plus *terrain* et moins *phylo*, comment ça marche pour moi, une future IPS-PL ? la recherche, est-elle utile? Bien sûr! La pratique infirmière avancée est pleine de réflexions et d'analyses!

Pour ceux et celles intéressé(e)s,  3 concepts-clé distinguent la pratique avancée  de la pratique courante d’une infirmière
Expansion = L'acquisition de nouvelles connaissances ou pratiques au-delà des frontières traditionnelles des sciences infirmières. La réflexion est axée sur la pratique mais également sur notre rôle, on acquiert des connaissances approfondies en physiopathologie, mesures de diagnostic et traitement, nous avons eu des réflexions très importants d'ordre éthique, c'est vraiment l'expansion de la pensée infirmière, on sort de la boîte! (la partie stimulante du cours, sans aucune doute)

Spécialisation = Se concentrer sur une partie du domaine infirmiers, approfondir ses compétences en regard d’une spécialité. Moi, je suis étudiante en première ligne, c'est-à-dire que je pourrai avoir des clients de tous âges, en suivi de maladies chroniques, suivi de grossesse, puériculture, etc. J'aime mieux la pratique élargie que la pratique hyper spécialisée, je me fatigue rapidement avec la monotonie et la routine ...

Avancement = À partir de l’expansion et la spécialisation, favoriser l’avancement des savoirs et des pratiques infirmières. Absolument, nous sommes des *pionnières* au Québec, malgré le fait que la profession existe depuis les années 60 aus États-Unis et que la pratique en Ontario est beaucoup plus structurée et autonome que la nôtre. C'est à nous de montrer notre valeur et de faire avancer la profession. Les IPS ne sont pas de mini-médecins, ni de super-infirmières. Au Québec nous seront jumelées à un médecin, notre autonomie est un peu restreinte, mais un jour peut-être nous aurions les mêmes droits de nos consoeurs ontariennes! Là-bas,  les IPS qui travaillent dans les hôpitaux sont autorisées à admettre des patients et à autoriser leur congé! Super, n'est-ce pas? Les IP en Ontario peuvent aussi être responsables des cliniques (nurse practitioner-led clinic)

voici la vidéo (en anglais) 

(ah, le Québec ... pour nous, c'est un rêve lointain d'avoir des cliniques gérées par les IP, mais il faut maintenir la flamme et continuer à rêver ....)


si je reviens à mon cours de recherche, à l'époque où nous sommes, les pratiques fondées sur des preuves sont presque la norme, le scientifique et les études sont importants. C'est la partie *science* des infirmières et je la trouve génial (voyons, nous avons nous aussi des cerveaux pensants!) Mon cours de recherche me permets de mieux comprendre les études et de les analyser d'une manière critique. Pour cela, je suis tout à fait d'accord.


Mais, 4 questions dans 1 page???? (mon petit moment révolte étudiante)


 Non, la vie étudiante n'est pas si rose .... il faut persévérer...
(voici une photo d'hier avec le brouillard, très beau spectacle de la nature)
Pavillon Ferdinand-Vandry, moi et mon (énorme) sac à dos, jeudi le 28 mars 2013

le mot de la fin ?
nurse practitioner = We believe every person deserves the best possible healthcare!

samedi 23 mars 2013

défilé de la St-Patrick de Québec

J'aime m'amuser. J'aime les programmes gratuits et je les aime encore plus quand ils sont à côté de chez moi! :-)
ah, des belles raisons pour sortir au lieu de faire le ménage du samedi ....



Aujourd'hui a eu lieu la 4e édition du défilé de la St-Patrick de Québec :-)

Selon les informations du site  http://www.qcpatrick.com/about/ , L’organisation du Défilé de la Saint-Patrick de Québec a été créée le 13 juin 2009. Son but : faire revivre annuellement le Défilé de la Saint-Patrick dans la ville de Québec, qui fût, à l’époque, le plus important du genre au Canada.

quelques photos, comme d'habitude  ...
















Immigrer c'est s'ouvrir à un nouveau monde, à une nouvelle façon de voir le monde. Préserver la culture et les traditions est important. Les racines irlandaises au Québec sont profondes,  à la fin des années 1600, on estime que 130 des 2 500 familles installées en Nouvelle-France, soit environ 5 %, étaient composées d'Irlandais. Leurs raisons d'immigration étaient associées à la survivre, échapper à la famine ...  En 1871, après une vague d'immigration massive, leur proportion atteignait 10 %, faisant des Irlandais le deuxième groupe en importance au Canada après les Français.

Dans les années 1860-1900, les Irlandais forment environ 25 % de la population du Québec!! 
En 1950, le Canada comptait 1 500 000 Irlandais. En 1986, on a compté 700 cents mille Canadiens d’ascendance irlandaise pure et presque 3 millions sont ceux ayant au moins un ancêtre irlandais.

Et nous?
L'immigration brésilienne est récent, selon le ministère de l'Immigration environ 1000 brésiliens immigrent au Québec chaque année. Nous sommes au 16o  rang des pays de naissance des immigrants admis et Montréal concentre presque 80% des brésiliens au Québec. Nos raisons d'immigration sont connues, nous cherchons ladite qualité de vie, n'est-ce pas? Comme les irlandais de l'époque de la Nouvelle France, je l'ai trouvée au Québec.







samedi 16 mars 2013

QC et ON en images

Il faut dire, le pays est vraiment beau. Le paysage change subtilement, peu à peu. Les quatre saisons nous offrent des vrais spectacles de la Nature.

J'avoue que malgré mes 6 ans ici, je connais très peu de mon nouveau pays, mais cela ne m'empêche pas de penser que je suis fascinée par la beauté naturelle du Canada.

Comme on dit, une image vaut mille mots, voici quelques photos aléatoires d'un beau pays.


Gatineau

Niagara

Toronto

Témiscaming

Huntsville

L'île Ste-Hélène

Kipawa

North Bay

Oka

Ottawa

Fjord du Saguenay

Lac Brome

North Hatley

Saint-Benoît-du-Lac

Malbaie

Saint-Brunno

Terrebonne

Montréal

Wentworth-Nord

Montréal

Mont-Tremblant

Lachine

Fitch Bay

Georgetown

Boucherville

Gaspé

Île des Soeurs

La Tuque

Saint-Eustache

Chute Montmorency

Carleton-sur-Mer

Lacolle

Québec
Île d'Orléans

Matane


Kingston
... quoi dire?....  j'aime les photos ....


Dans ma liste de choses à faire,  l'aventure transcanadienne, bien sûr, ainsi que visiter le Grand Nord, les Maritimes, la Prairie .... 

Voyager est nécéssaire! Le voyage en tant qu'expérience favorise une ouverture vers le monde. On découvre, on se découvre.